Félix Delep

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Félix Delep
Félix Delep au festival d'Angoulême 2020
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (31 ans)
Nationalité
Formation
Activité
Fratrie
Bruno Delepelaire (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
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Œuvres principales

Félix Delep est un dessinateur de bande dessinée français né le [Où ?]. Il accède à la notoriété avec Le Château des animaux, série publiée à partir de 2018.

Biographie[modifier | modifier le code]

Félix Delep passe un bac scientifique puis reste un an à l'Atelier de Sèvres avant d'intégrer l'école Émile-Cohl[1][Quand ?]. Alors qu'il se trouve en dernière année et envisage de devenir peintre, sa rencontre avec Lewis Trondheim (qui enseigne à Émile-Cohl) conduit Delep à publier quelques pages de bande dessinée animalière dans Spirou[1]. Ce travail est repéré par Xavier Dorison, qui propose à Delep de dessiner Le Château des animaux, série de bande dessinée animalière inspirée de La Ferme des animaux de George Orwell[1].

La série, prévue en quatre volumes[2], remporte un certain succès public : en janvier 2021, les ventes de la série totalisent 150 000 exemplaires et le premier volume figure dans la sélection officielle au festival d'Angoulême 2020[3]. En parallèle de la série sont publiées les Gazettes[2].

L'artiste emploie l'informatique pour les planches du Château des animaux[2] mais prévoit de réaliser le troisième tome, prévu pour 2022, au dessin traditionnel à la suite de la découverte des œuvres de Naoki Urasawa[1].

Vie personnelle[modifier | modifier le code]

Félix Delep est le frère cadet du violoncelliste Bruno Delepelaire[1].

Œuvres[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Cédric Pietralunga, « Félix Delep, roi des animaux de bande dessinée », Le Monde,‎ (lire en ligne).
  2. a b et c Jean-Laurent Truc, « Interview : Félix Delep, dessinateur du Château des Animaux, à suivre de très près », sur ligneclaire.info,
  3. Valentin Paquot, « Le Château des animaux, une relecture pacifiste de la fable d’Orwell », Le Figaro,‎ (lire en ligne).

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]